Description
Intérieur jour. Une pizzeria au bord d’une route. Sur les banquettes de skaï, le gangster fait face à l’auto-stoppeuse. Un silence s’installe, long, interminable. « Coupez ! s’écrie Paul Corso. Mais pourquoi il ne dit pas son texte, ce con ? »
Corso n’en est pas à son premier tournage, mais un comédien qui refuse de parler, c’est du jamais-vu. Quelle idée aussi d’engager, dans le rôle du taulard, un vrai taulard… Il fait peur à tout le monde, ce dingue. La réalité vient de s’inviter dans la fiction : débordements à prévoir…
« Durringer dézingue le ciné-mythe, ranime les statues de cire du grand écran, redonne un peu d’air, de chair et de cœur au 7e Art. » Marine de Tilly – Le Point
« Une écriture très cinématographique, un sens du dialogue et de la séquence ciselé. C’est drôle, toujours prenant… et assez mélancolique. » France Inter